Les Reportaz 2010, c'est :
Voyager dans la ville musée
Le premier docu de cette série ! Après une ouverture en fanfare par l’immense Patrice Drevet, nous suivrons Sami pour quelques visites touristiques : la Tour Eiffel, le cimetière du père Lachaise… avant de quitter la ville-musée pour des quartiers réservés aux habitants et, enfin, voir comment ça se passe chez les vivants !
La destination rêvée des pauvres et les idiots
Tout le monde devrait par la capitale de la Belgique. La ville est belle, les bars sont abordables et l’on y croise du beau monde ! Djezzy, qui nous avait déjà présenté Dublin dans mon premier film, Lara, qui va nous présenter le Manneken-Pis, un pianiste de bordel et trois français venu étudier… sans oublier une inattendue foule gay.
La ville qui s’assagit
Je n’ai passé que trois jours dans la très rangée capitale de l’Allemagne. C’est court, mais c’est assez pour picoler au carnaval des cultures du Kreuzberg, visiter un squat de caractère et un vieux bunker heureusement désert. Tout ça pour remarquer que Berlin dégage une certaine énergie, celle d’une ville rebelle qui, toujours, s’assagit.
Ici, où le voyage est une poésie
Une des plus belles villes d’Europe et aussi, fatalement, une des plus touristiques ! Quoi de mieux alors que de laisser la parole à quelques dignes représentants de la faune bigarrée des backpackers ? Mais ce n’est pas tout, et le hasard m’amènera donc aussi, lors d’une expédition imbibée, à la rencontre d’un poète exalté.
La ville triangle
Encore l’une des plus belles villes d’Europe… mais qui a sa banlieue, en sus, le plus bel exemple de nouvelle-ville communiste qui soit : Nowa Huta, où je partirai faire un tour des plus folkloriques en Trabant 601. Ceci après avoir visité un poète et un bar lesbien, pour enfin comprendre qu’ici, tout dépend du coin choisis.
La ville d’où l’on part
Pour moi, cette étape fut des plus tranquilles, des plus reposantes. Tout occupé à monter le film sur Cracovie, je n’ai pas filmé grand chose. Juste quelques images de la belle Lviv et, surtout, de comment on en part… en train de nuit, transport idéal pour expérimenter la franche camaraderie des gens du pays !
Une ville musicale
Tout au long de cette septième étape, la musique m’a accompagné. Electronique, avec de jeunes drogués dansant sous les ponts, acoustique, avec un peintre inspiré… et même mystique, avec quelques végétariens psalmodiant pour Krishna. Sans oublier la plus douce des mélodies : le bruit des moteurs des minibus jaunes.
Une péninsule presque russe
Après une beau trajet de 1000 kilomètres dans des trains toujours plus pittoresques, je suis soujours en Ukraine… du moins, sur le papier. Car dans le port de Sébastopol c’est le drapeau russe qui flotte. C’est aussi le russe qu’on parle, et c’est un russe, Maxim, qui m’expliquera cette particularité géopolitique.
Ou la puissance de la Salsa.
Me voici arrivé dans l’une des plus belles villes de la mer Noire. Sa perle même, disent ses habitants, au milieu desquels on peut trouver un poète nihiliste : Sergueï, que j’ai interviewé. Manque de bol, quelques jours après avoir quitté l’endroit, la cassette fut recouverte par 45 minutes de bar à salsa moldave. Le résultat est là.
Pourquoi être le numéro 801 ?
La capitale de la Moldavie accueille 800 touristes par an. C’est peu et pourtant, c’est un endroit où il faut bon voyager. Gêné par le manque de succès de son petit pays, le jeune Dimitrou va m’aider à faire à en faire la publicité, mettant en avant le charme d’un endroit préservé du tourisme de masse.
Là où les tziganes ne sont pas chez eux
Bienvenue dans la capitale de la Roumanie ! Dont le nom n’a rien à voir avec les Rroms. Contrairement à ce que l’on croit à l’Ouest ici aussi , ils sont une minorité. Mais c’est d’eux dont des roumains vont me parler, avant d’aller visiter les principaux intéressés, dans le pittoresque quartier de Baïkuli.
En touriste
Le yaourt, tout le monde connaît. Mais peu de gens savent que selon les bulgares, il vient de Bulgarie. Et on s’en enorgueillit, ici. C’est donc autour de cette onctueuse fierté lactée que tournera ce reportage, avec en prime un japonais rebelle, et une beauté traditionnelle : la sympathique Miwa, chanteuse des bois.
L’éloge de la tranquillité
Thessalonique, c’est sympathique. Une ville étudiante, tranquille le jour et festive la nuit qui nous est ici présenté Tilémachos ; étudiant tranquille le jour, et très probablement aussi tranquille la nuit.
Au menu de ce Reportaz : soleil, histoire et discussions sur l’herbe grasse.
Entre le très grand et le tout petit
Me voilà dans la capitale de la Macédoine, un petit melting-pot ethnique et surtout architectural. J’y visiterai le plus grand quatier tzigane d’Europe, et me ferai expliquer les problèmes avec la Grèce par deux locaux, dont une architecte qui me parlera aussi d’un étonnant projet… tout ça avant de rencontrer Georges du 9-3 !
La fête au pays des trompettes
Pour mon sixième passage dans le pays, j’ai été de Džep à Belgrade, en passant par Niš mais aussi l’incroyable Guča festival, qui ferait passer les films de Kusturica pour des documentaires ! Tout ça pour vous montrer ce qu’est la Serbie : un endroit festif, beau, chargé d’histoire et rempli de gens accueillants.
Voyager à la maison
Après quatre mois de voyage, me revoilà en France. Petit arrêt à Montpellier chez mon amie Margo, elle aussi de retour d’un grand voyage… et puis retour là où le tour à commencé : Paris. Là, je rencontrerai des manifestant qui, sensible à la cause tzigane, s’intéressent à autre chose qu’à eux-mêmes.