Quelques jours après avoir rencontré M. Matisson, le hasard a voulu que je tombe sur la lettre d’un arrière-grand-père demandant à sa descendance de maudire le nom de Papon. Or, c’est entre autres grâce à ce même M. Matisson que le collabo a fini en prison. L’occasion de commencer une belle collaboration.
Las du salariat j’espère toujours, même passé 30 ans, pouvoir travailler librement à mes passions ; écrire, filmer sans penser à l’argent. Ne trouvant aucune Catherine de Médicis pour m’entretenir, j’ai donc cherché une solution globale à mon cas particulier – une solution réaliste, et qui, bonus, mettrait fin à pauvreté.
Constatant les échecs du libéralisme et des institutions qui le favorise, voici une alternative : une république bicamérale, où l’une des chambres serait une assemblée populaire permanente et tirée au sort… la condition pour que, enfin, ne soit vraiment représentée la volonté de tous face aux intérêts particuliers.
Voulant tester les limites de l’automatisation de nos services postaux, j’ai décidé d’affranchir une lettre avec un timbre n’étant plus valide depuis quelques années. Il en ressort que les machines ne sont pas infaillibles, et que l’humain reste nécessaire au bon fonctionnement de nos sociétés.